Développement industriel : La Côte d’Ivoire séduit l’Essec
La Chaire « Business et industrie en Afrique » de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (Essec Business school) de France a été officiellement présentée au patronat ivoirien le 6 mars 2025, à la Maison de l’Entreprise, au Plateau, au cours d’une séance de travail. L’initiative a été lancée en janvier 2025, à Rabat, au Maroc.
A la tête d’une délégation de 18 étudiants, Benoit Chervalier, chef de la délégation et par ailleurs président du Comité Afrique de Business Europe et co-fondateur de la Chaire, a expliqué les objectifs de ce modèle.
A l’en croire, il vise à traiter les défis et les opportunités liés à l’industrialisation et à la transformation des matières premières, en renforçant la position de l’Afrique dans la chaîne de valeur mondiale. « Il se fonde dans l’accompagnement des entreprises. Nous sommes engagés pour un développement et un partenariat de longue date avec le secteur privé. L’industrialisation et le développement de la transformation des matières sont les 2 piliers de la Chaire », a-t-il expliqué.
Il a noté que l’Afrique est richement dotée de matières premières et il est impératif de les transformer sur le continent africain. Selon lui, la Chaire vise à répondre à un objectif économique, d’emploi et de capital humain.
Benoît Chervalier a ajouté que la présentation de la Chaire en Côte d’Ivoire permettra de contribuer à créer l’écosystème nécessaire au renforcement de l’intégration de l’Afrique dans les chaînes de valeurs mondiales. « La Chaire est pionnière et innovante. La Côte d’Ivoire, grâce à ses performances économiques et la transformation rapide du pays, est la première étape en Afrique subsaharienne de cet ambitieux programme », a-t-il fait savoir.
Expliquant le choix de la Côte d’Ivoire pour le lancement de cette initiative, il a indiqué que le pays a enregistré des performances remarquables. « La Côte d’Ivoire est en pleine transformation et mutation. Ce sont des éléments utiles. Notre objectif est de nous inscrire dans la durée avec vous », a-t-il insisté. Il a par ailleurs noté que le pays, doté d’une économie assez ouverte, est un modèle pour le continent africain.
Mamadou Koné, vice-président de la Cgeci, a, pour sa part, souligné que la mise en place de cette Chaire portée sur l’industrie est une véritable opportunité de collaboration. Car dira-t-il, l’un de ses piliers qui est l’industrialisation, constitue le socle du développement et de la prospérité des économies modernes.
« En Afrique et plus particulièrement en Côte d’Ivoire, la question industrielle s’impose aujourd’hui. Nous faisons face à un impératif stratégique, celui de passer d’une économie extractive de rentes à une économie de transformation, de production et d’innovation. C’est dans cet esprit que la Cgeci a placé cette ambition au cœur de son plaidoyer », a-t-il déclaré.
Il faut noter que la délégation prend part, depuis le 3 mars à des visites de sites industriels, des études de cas chez les partenaires et les rencontres auprès de décideurs et entrepreneurs.
A l’en croire, il vise à traiter les défis et les opportunités liés à l’industrialisation et à la transformation des matières premières, en renforçant la position de l’Afrique dans la chaîne de valeur mondiale. « Il se fonde dans l’accompagnement des entreprises. Nous sommes engagés pour un développement et un partenariat de longue date avec le secteur privé. L’industrialisation et le développement de la transformation des matières sont les 2 piliers de la Chaire », a-t-il expliqué.
Il a noté que l’Afrique est richement dotée de matières premières et il est impératif de les transformer sur le continent africain. Selon lui, la Chaire vise à répondre à un objectif économique, d’emploi et de capital humain.
Benoît Chervalier a ajouté que la présentation de la Chaire en Côte d’Ivoire permettra de contribuer à créer l’écosystème nécessaire au renforcement de l’intégration de l’Afrique dans les chaînes de valeurs mondiales. « La Chaire est pionnière et innovante. La Côte d’Ivoire, grâce à ses performances économiques et la transformation rapide du pays, est la première étape en Afrique subsaharienne de cet ambitieux programme », a-t-il fait savoir.
Expliquant le choix de la Côte d’Ivoire pour le lancement de cette initiative, il a indiqué que le pays a enregistré des performances remarquables. « La Côte d’Ivoire est en pleine transformation et mutation. Ce sont des éléments utiles. Notre objectif est de nous inscrire dans la durée avec vous », a-t-il insisté. Il a par ailleurs noté que le pays, doté d’une économie assez ouverte, est un modèle pour le continent africain.
Mamadou Koné, vice-président de la Cgeci, a, pour sa part, souligné que la mise en place de cette Chaire portée sur l’industrie est une véritable opportunité de collaboration. Car dira-t-il, l’un de ses piliers qui est l’industrialisation, constitue le socle du développement et de la prospérité des économies modernes.
« En Afrique et plus particulièrement en Côte d’Ivoire, la question industrielle s’impose aujourd’hui. Nous faisons face à un impératif stratégique, celui de passer d’une économie extractive de rentes à une économie de transformation, de production et d’innovation. C’est dans cet esprit que la Cgeci a placé cette ambition au cœur de son plaidoyer », a-t-il déclaré.
Il faut noter que la délégation prend part, depuis le 3 mars à des visites de sites industriels, des études de cas chez les partenaires et les rencontres auprès de décideurs et entrepreneurs.