
Émile Ebrottié a édifié les forces vives du département de Dimbokro sur le chronogramme en cours de la Cei. (Ph: Dr)
Émile Ebrottié a édifié les forces vives du département de Dimbokro sur le chronogramme en cours de la Cei. (Ph: Dr)
Révision de la liste électorale : La Cei explique pourquoi ce n’est pas faisable avant octobre
Le porte-parole de la Commission électorale indépendante (Cei), Émile Ébrottié, était le 12 mars 2025, à la préfecture de Dimbokro, pour échanger avec toutes les forces vives du département sur le traitement du contentieux de la liste électorale provisoire.
L’occasion lui a été donnée de revenir sur l’épineuse question de la Révision de la liste électorale (Rle), avant la présidentielle de 2025, préoccupation majeure de certains partis politiques.
« C’est une vieille question qui traîne. Vous savez très bien que le processus dure au minimum 6 mois. Nous avons, en son temps, demandé à nos partenaires d’être disposés pour son démarrage. Le processus a commencé avec 6 mois de retard. Achevons-le et après, on avisera », a-t-il déclaré, ajoutant que la Cei ne refuse pas de faire la Rle en 2025.
« La Cei pourra le faire après avoir respecté les délais impartis par rapport aux dates de candidature et du parrainage, tout comme d’autres choses importantes », a-t-il précisé, indiquant qu’il est impossible d’organiser une Rle avant la présidentielle d’octobre prochain.
Le superviseur de la Cei des régions de l’Iffou, du Moronou et de l’Indénié-Djuablin a donné les raisons de sa présence dans le N’Zi. À l’en croire, il est venu exhorter les potentiels électeurs à s’approprier la période du contentieux pour d’éventuelles réclamations, afin d’avoir une liste électorale consensuelle.
« Souvent, il nous revient qu’une tierce personne affirme, au dernier moment, qu’elle n’a pas vu son nom sur la liste électorale. C’est donc l’occasion pour tous ceux qui ne sont pas sur la liste d’être rétablis dans leur droit et de retirer tous ceux qui ne méritent pas d’y être. Dans ce sens, nous faisons cas des décès. Il faut apporter des certificats de décès, afin de retirer ces noms de la liste. Car leur présence sur les fichiers plombe le taux de participation », a-t-il fait savoir.
Il a souhaité que les populations se tiennent prêtes à faire leur requête pour celles qui le désirent, dès l’affichage, le 17 mars, de la liste électorale.
« C’est une vieille question qui traîne. Vous savez très bien que le processus dure au minimum 6 mois. Nous avons, en son temps, demandé à nos partenaires d’être disposés pour son démarrage. Le processus a commencé avec 6 mois de retard. Achevons-le et après, on avisera », a-t-il déclaré, ajoutant que la Cei ne refuse pas de faire la Rle en 2025.
« La Cei pourra le faire après avoir respecté les délais impartis par rapport aux dates de candidature et du parrainage, tout comme d’autres choses importantes », a-t-il précisé, indiquant qu’il est impossible d’organiser une Rle avant la présidentielle d’octobre prochain.
Le superviseur de la Cei des régions de l’Iffou, du Moronou et de l’Indénié-Djuablin a donné les raisons de sa présence dans le N’Zi. À l’en croire, il est venu exhorter les potentiels électeurs à s’approprier la période du contentieux pour d’éventuelles réclamations, afin d’avoir une liste électorale consensuelle.
« Souvent, il nous revient qu’une tierce personne affirme, au dernier moment, qu’elle n’a pas vu son nom sur la liste électorale. C’est donc l’occasion pour tous ceux qui ne sont pas sur la liste d’être rétablis dans leur droit et de retirer tous ceux qui ne méritent pas d’y être. Dans ce sens, nous faisons cas des décès. Il faut apporter des certificats de décès, afin de retirer ces noms de la liste. Car leur présence sur les fichiers plombe le taux de participation », a-t-il fait savoir.
Il a souhaité que les populations se tiennent prêtes à faire leur requête pour celles qui le désirent, dès l’affichage, le 17 mars, de la liste électorale.