Mamadou Sangafowa, ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines. (Ph: Dr)
Mine, Pétrole, Énergie/Sangafowa Coulibaly aux investisseurs: "Notre priorité, la création d’emplois"
Les splendides locaux de l’ambassade de la Côte d’Ivoire à Washington n’ont pas désempli, hier lundi 17 mars 2025. Et pour cause, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Mamadou Sangafowa y avait installé ses bureaux.
La délégation qu’il conduit aux États-Unis pour des discussions avec des partenaires financiers et techniques a pris pied donc au siège de la représentation diplomatique près les États-Unis.
La salle de réunion, transformée en salle d’audience, a vu se succéder des partenaires financiers et techniques. Les uns pour les mines ou le pétrole, les autres pour le financement des infrastructures afférentes aux exploitations. Notamment la nouvelle raffinerie, un projet cher au ministre Sangafowa Coulibaly. Parce que « la Côte d’Ivoire veut bâtir une véritable économie autour de ses ressources extractives ». Car, ayant pris le temps d’observer les nations devancières, le pays veut éviter de se lancer dans l’exploitation sans garantie, sans assurance de ce que l’exploitation profitera aux populations et à l’État par l’engrangement de valeur ajoutée.
Le 17 mars, le ministre a rappelé à tous ses interlocuteurs qu’autant son pays a besoin d’eux, autant son gouvernement veut contrôler les règles. Il veut que chaque projet profite aux Ivoiriens.
« Notre priorité, la création d’emplois »
En fin technicien, Sangafowa Coulibaly sait que pour générer de nombreux emplois et des ressources fiscales solides, il lui faut développer toute une industrie autour des énergies extractives et aussi appuyer les infrastructures afférentes. D’où le chemin de fer San Pedro-Ouest montagneux et la nouvelle Sir ainsi que les ports minéralier et pétrolier.
Autre exigence de la Côte d’Ivoire, composer avec les leaders mondiaux dans chaque domaine. Des entreprises ayant de bons portefeuilles et utilisant les dernières technologies.
Bientôt une mine d’or à Odienné
Les recherches ne sont pas totalement achevées mais les dernières nouvelles sont bonnes. Il y a de l’or à Odienné et le ministre Mamadou Sangafowa veut que la mise sur pied de la mine se fasse le plus rapidement possible.
Il a exprimé cette volonté des autorités ivoiriennes, hier, aux partenaires choisis pour les recherches dans la sphère du Kabadougou. « Démarrez la mine pendant que vous poursuivez les recherches », a-t-il répété aux patrons de l’entreprise contractuelle.
Tom Palmer, President and Chief Executive Officer, numéro un du géant mondial Newmont, propriétaire du permis de recherche à Odienné, a promis de faire diligence pour satisfaire les exigences de la Côte d’Ivoire. « Nous vous attendons à Abidjan », lui a lancé, en fin de réunion et dans une ambiance conviviale, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines.
Cette même ambiance a prévalu à la séance de travail avec l’ancienne ministre française, Rama Yade, directrice Afrique du puissant Think tank américain, Atlantic Council.
Envoyé spécial à Washington
La salle de réunion, transformée en salle d’audience, a vu se succéder des partenaires financiers et techniques. Les uns pour les mines ou le pétrole, les autres pour le financement des infrastructures afférentes aux exploitations. Notamment la nouvelle raffinerie, un projet cher au ministre Sangafowa Coulibaly. Parce que « la Côte d’Ivoire veut bâtir une véritable économie autour de ses ressources extractives ». Car, ayant pris le temps d’observer les nations devancières, le pays veut éviter de se lancer dans l’exploitation sans garantie, sans assurance de ce que l’exploitation profitera aux populations et à l’État par l’engrangement de valeur ajoutée.
Le 17 mars, le ministre a rappelé à tous ses interlocuteurs qu’autant son pays a besoin d’eux, autant son gouvernement veut contrôler les règles. Il veut que chaque projet profite aux Ivoiriens.
« Notre priorité, la création d’emplois »
En fin technicien, Sangafowa Coulibaly sait que pour générer de nombreux emplois et des ressources fiscales solides, il lui faut développer toute une industrie autour des énergies extractives et aussi appuyer les infrastructures afférentes. D’où le chemin de fer San Pedro-Ouest montagneux et la nouvelle Sir ainsi que les ports minéralier et pétrolier.
Autre exigence de la Côte d’Ivoire, composer avec les leaders mondiaux dans chaque domaine. Des entreprises ayant de bons portefeuilles et utilisant les dernières technologies.
Bientôt une mine d’or à Odienné
Les recherches ne sont pas totalement achevées mais les dernières nouvelles sont bonnes. Il y a de l’or à Odienné et le ministre Mamadou Sangafowa veut que la mise sur pied de la mine se fasse le plus rapidement possible.
Il a exprimé cette volonté des autorités ivoiriennes, hier, aux partenaires choisis pour les recherches dans la sphère du Kabadougou. « Démarrez la mine pendant que vous poursuivez les recherches », a-t-il répété aux patrons de l’entreprise contractuelle.
Tom Palmer, President and Chief Executive Officer, numéro un du géant mondial Newmont, propriétaire du permis de recherche à Odienné, a promis de faire diligence pour satisfaire les exigences de la Côte d’Ivoire. « Nous vous attendons à Abidjan », lui a lancé, en fin de réunion et dans une ambiance conviviale, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines.
Cette même ambiance a prévalu à la séance de travail avec l’ancienne ministre française, Rama Yade, directrice Afrique du puissant Think tank américain, Atlantic Council.
Envoyé spécial à Washington