
Il ressort des réflexions des experts qu'il y a une relation fusionnelle entre la littérature et le droit. (Ph: Dr)
Il ressort des réflexions des experts qu'il y a une relation fusionnelle entre la littérature et le droit. (Ph: Dr)
Université Alassane Ouattara de Bouaké : La littérature et le droit au centre d’un colloque
À l’initiative du Laboratoire d’études et de recherche en littératures françaises et francophones (Laberlif), un colloque international pluridisciplinaire s’est déroulé, du 12 au 13 mars, au campus 2 de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké (Uao-B). Thème de cette rencontre : « Littérature et droit : interaction et confrontation ».
À l’ouverture, le Prof. Pascal Manhan Mindié, directeur du Laberlif, a indiqué que l’objectif principal de ce colloque est de faire connaître la littérature sous toutes ses facettes et d’établir la corrélation entre cette discipline et le droit.
« Il faut savoir qu’aujourd’hui, dans nos universités, nous sommes dans une nouvelle dynamique et un enseignement qui se fait autrement, avec le système Lmd (Licence, master et doctorat). C’est un enseignement où l’on essaie de mettre en interaction les différentes disciplines des ordres d’enseignement que nous avons. Il s’agit de tirer de ce rapport ce qui est positif », a-t-il justifié.
Il a fait part de l’utilité de la littérature dans les domaines de la technologie, de la technique et dans d’autres secteurs. Lors de la conférence inaugurale, le Prof. Silué Nanga, doyen de l’Ufr des Sciences juridiques, administratives et politiques, a fait ressortir deux idées fortes qui, pour lui, doivent retenir l’attention des uns et des autres.
« On ne peut pas être bon juriste si on n’est pas un bon littéraire. Parce que le droit est véhiculé dans une langue (Ndrl : le français », a-t-il martelé.
« Il faut savoir qu’aujourd’hui, dans nos universités, nous sommes dans une nouvelle dynamique et un enseignement qui se fait autrement, avec le système Lmd (Licence, master et doctorat). C’est un enseignement où l’on essaie de mettre en interaction les différentes disciplines des ordres d’enseignement que nous avons. Il s’agit de tirer de ce rapport ce qui est positif », a-t-il justifié.
Il a fait part de l’utilité de la littérature dans les domaines de la technologie, de la technique et dans d’autres secteurs. Lors de la conférence inaugurale, le Prof. Silué Nanga, doyen de l’Ufr des Sciences juridiques, administratives et politiques, a fait ressortir deux idées fortes qui, pour lui, doivent retenir l’attention des uns et des autres.
« On ne peut pas être bon juriste si on n’est pas un bon littéraire. Parce que le droit est véhiculé dans une langue (Ndrl : le français », a-t-il martelé.