L'artiste Julien Kando explique l'oeuvre participative. (Bavane)
Peinture : Julien Kando partage son expérience avec les étudiants de l'INSAAC
L'Association culturelle des Productions mondiales des arts des femmes (Pmaf), en partenariat avec le Bureau du Québec en Côte d’Ivoire, a organisé une présentation d'œuvre participative et un vernissage de l’artiste afro-canadien Julien Kandolo (Kando) le 17 mars 2025, à l'Insaac d'Abidjan-Cocody.
« Je voudrais remercier l’artiste pour avoir partagé son savoir avec nos étudiants. En venant à l’Insaac, il nous a transmis son savoir et je lui en suis infiniment reconnaissant », a affirmé Honoré Kouadio, secrétaire général de l’Insaac pour saluer l’initiative.
Adam Kalapo, attachée culturelle du Bureau du Québec, au nom de son institution, a rappelé l’objectif de la réalisation de cette œuvre. « Cette œuvre participative s’inspire des traditions et des récits des sociétés québécoises et ivoiriennes. Elle s'inscrit dans une perspective de multiculturalisme à travers une approche de peinture en groupe », a-t-elle expliqué, avant d’exprimer sa gratitude à l’Insaac qui a accueilli le projet. Elle a également salué les étudiants qui ont contribué à la création de cette œuvre.
Pour l'artiste Julien Kandolo, qui vit au Québec depuis 16 ans, l’idée derrière cette œuvre est de vulgariser le processus créatif et de démocratiser l’art. Cette œuvre participative, dit-il, lui a permis de transmettre ses techniques et sa façon de travailler. « J’ai réussi à vulgariser mon processus créatif auprès des étudiants de l’Insaac. Ils m’ont aussi appris certaines choses, mais j’ai réussi à initier certains artistes qui n’avaient jamais réalisé ce genre d’exercice. Sur le plan spirituel, j’utilise beaucoup l’image des masques, représentée par les visages dans mes différents tableaux », a expliqué l’artiste.
Faut-il le rappeler, l’événement a pris une semaine. Il a débuté le jeudi 13 mars 2025, à l’Insaac. Au-delà de la simple exposition artistique, la rencontre a permis de tisser des liens solides entre deux cultures, le Québec et la Côte d’Ivoire, à travers l’art. Il a également offert aux étudiants l’opportunité unique de participer à un échange créatif enrichissant.
Adam Kalapo, attachée culturelle du Bureau du Québec, au nom de son institution, a rappelé l’objectif de la réalisation de cette œuvre. « Cette œuvre participative s’inspire des traditions et des récits des sociétés québécoises et ivoiriennes. Elle s'inscrit dans une perspective de multiculturalisme à travers une approche de peinture en groupe », a-t-elle expliqué, avant d’exprimer sa gratitude à l’Insaac qui a accueilli le projet. Elle a également salué les étudiants qui ont contribué à la création de cette œuvre.
Pour l'artiste Julien Kandolo, qui vit au Québec depuis 16 ans, l’idée derrière cette œuvre est de vulgariser le processus créatif et de démocratiser l’art. Cette œuvre participative, dit-il, lui a permis de transmettre ses techniques et sa façon de travailler. « J’ai réussi à vulgariser mon processus créatif auprès des étudiants de l’Insaac. Ils m’ont aussi appris certaines choses, mais j’ai réussi à initier certains artistes qui n’avaient jamais réalisé ce genre d’exercice. Sur le plan spirituel, j’utilise beaucoup l’image des masques, représentée par les visages dans mes différents tableaux », a expliqué l’artiste.
Faut-il le rappeler, l’événement a pris une semaine. Il a débuté le jeudi 13 mars 2025, à l’Insaac. Au-delà de la simple exposition artistique, la rencontre a permis de tisser des liens solides entre deux cultures, le Québec et la Côte d’Ivoire, à travers l’art. Il a également offert aux étudiants l’opportunité unique de participer à un échange créatif enrichissant.