Véronique Tadjo
Littérature : Véronique Tadjo sacrée lauréate du Prix Ahmadou Kourouma 2025
La romancière franco-ivoirienne Véronique Tadjo a été couronnée du Prix Ahmadou Kourouma 2025 au Salon du Livre de Genève pour son œuvre intitulée Je remercie la nuit. La cérémonie de remise de ce Prix a eu lieu le vendredi 21 mars 2025 lors du Salon du Livre de Genève, qui s'est tenu du 19 au 23 mars 2025.
Il signaler que ce prix récompense une plume qui, à l’image de l’écrivain ivoirien Ahmadou Kourouma, porte un regard engagé sur l’Afrique contemporaine à travers la littérature.
Véritable icône des lettres africaines, Véronique Tadjo s’est imposée au fil des années comme une voix majeure de la littérature du continent. Militante féministe et africaniste convaincue, elle s’emploie à faire résonner les réalités africaines dans ses écrits, tout en questionnant les dynamiques sociales et historiques.
Professeure de littérature française, elle a enseigné notamment à l’université de Witswatersrand à Johannesburg jusqu’en 2015. Contribuant ainsi à la formation de générations d’étudiants en Afrique du Sud. Son talent a été plusieurs fois salué par la critique et le monde littéraire, avec des distinctions telles que le Grand Prix littéraire d'Afrique Noire en 2005 et le Grand Prix National Bernard Dadié en 2016.
Avec « Je remercie la nuit », Véronique Tadjo confirme son statut d’écrivaine de premier plan, poursuivant son engagement à travers une œuvre qui, sans nul doute, marquera les esprits.
A noter que « Je remercie la nuit » raconte l’histoire de Flora et Yasmina, deux étudiantes à Cocody, en Côte d’Ivoire, dont la vie bascule lors de la crise politique de 2010, marquée par un conflit post-électoral entre Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Séparées par les événements, Yasmina rejoint sa famille tandis que Flora s’exile à Johannesburg pour reconstruire sa vie. Entre amour, amitié, art et révolte, le roman esquisse le parcours de la jeunesse africaine, entre espoirs et désillusions, de la Côte d’Ivoire à l’Afrique du Sud.
Véritable icône des lettres africaines, Véronique Tadjo s’est imposée au fil des années comme une voix majeure de la littérature du continent. Militante féministe et africaniste convaincue, elle s’emploie à faire résonner les réalités africaines dans ses écrits, tout en questionnant les dynamiques sociales et historiques.
Professeure de littérature française, elle a enseigné notamment à l’université de Witswatersrand à Johannesburg jusqu’en 2015. Contribuant ainsi à la formation de générations d’étudiants en Afrique du Sud. Son talent a été plusieurs fois salué par la critique et le monde littéraire, avec des distinctions telles que le Grand Prix littéraire d'Afrique Noire en 2005 et le Grand Prix National Bernard Dadié en 2016.
Avec « Je remercie la nuit », Véronique Tadjo confirme son statut d’écrivaine de premier plan, poursuivant son engagement à travers une œuvre qui, sans nul doute, marquera les esprits.
A noter que « Je remercie la nuit » raconte l’histoire de Flora et Yasmina, deux étudiantes à Cocody, en Côte d’Ivoire, dont la vie bascule lors de la crise politique de 2010, marquée par un conflit post-électoral entre Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Séparées par les événements, Yasmina rejoint sa famille tandis que Flora s’exile à Johannesburg pour reconstruire sa vie. Entre amour, amitié, art et révolte, le roman esquisse le parcours de la jeunesse africaine, entre espoirs et désillusions, de la Côte d’Ivoire à l’Afrique du Sud.