La case des mots : Un vice-Président prudent

Le vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné. (Ph: Dr)
Le vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné. (Ph: Dr)
Le vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné. (Ph: Dr)

La case des mots : Un vice-Président prudent

Le 24/03/25 à 13:52
modifié 24/03/25 à 14:03
Secondant le Président, le vice-Président emprunte le côté concédant du Président. Du vice-Président, il n’y a nul antécédant d’incident. Prudent mais accommodant, notre ardent vice-Président, ne va pas s’attardant lui-même sur les antécédents.

Persuadant sans être condescendant, c’est le prototype évident du commandant accommodant qui n’est pas dans le pouvoir obsédant. Son ascendant accommodant prime sur son ascendant de commandant.

Vice-commandant, le vice-Président est dans l’esprit du Président, son commandant en chef et son mandant. Défendant le côté consolidant de la République, le vice-Président, comme son mandant, n’est dans les affichages débordants.

Le Président, en décidant, d’en faire son vice-Président, savait, c’est évident, se choisir le bon confident. Transcendant les incidents précédents, c’est l’exemple de l’adjudant prudent mais accommodant.

Gardant un sens ardent du service, notre vice-président, Dieu aidant, avance dans les pas de notre Président, mais pas en bavardant.


Le 24/03/25 à 13:52
modifié 24/03/25 à 14:03