Les échanges issus de ces forums doivent être traduits en actions concrètes sur le terrain afin de garantir des élections transparentes et apaisées en Côte d’Ivoire. DR
Les échanges issus de ces forums doivent être traduits en actions concrètes sur le terrain afin de garantir des élections transparentes et apaisées en Côte d’Ivoire. DR
Élections apaisées: La Fondation Konrad a initié des dialogues dans trois localités
Dans un contexte où les processus électoraux en Afrique de l’Ouest sont souvent marqués par des tensions sociopolitiques et des risques de violences, la Fondation Konrad Adenauer (Kas) a initié un projet d’échanges pour prévenir les conflits et promouvoir la cohésion sociale. Baptisé
« Ensemble pour des élections sûres et démocratiques : Dialogue pour la sécurité à l’approche des élections », ce programme vise à créer des espaces de concertation entre les différents acteurs du processus électoral.
Dans cette dynamique, des dialogues communautaires ont été organisés, du 3 au 25 mars, à Bouaké, Katiola et Gagnoa. Ces rencontres ont rassemblé les autorités locales, les forces de défense et de sécurité, les leaders communautaires, les jeunes, les femmes et les organisations de la société civile. L’objectif était de favoriser des échanges inclusifs et mettre en place des mécanismes préventifs pour des élections apaisées. Lors de la cérémonie d’ouverture, à Bouaké, Jocelyn Adepeau Yapo, secrétaire général de préfecture, représentant Tuo Fozié, préfet de région de Gbêkê, a insisté sur l’importance du dialogue pour la stabilité sociale.
« La paix est une œuvre collective qui se construit à travers la confiance mutuelle, la communication et le respect des valeurs démocratiques », a-t-il déclaré.
Il a souligné que ces initiatives permettent d’identifier, en amont, les sources potentielles de tensions et d’y apporter des solutions concertées. Quant au Dr Tobias Rüttershoff, représentant résident de la Fondation Konrad Adenauer, il a rappelé que les élections ne sont pas des moments de division. Elles doivent permettre de renforcer le vivre-ensemble. « Chacun à son niveau a un rôle à jouer dans la préservation de la paix et de la stabilité », a-t-il souligné.
Il a encouragé les participants à s’engager activement dans la sensibilisation et à relayer les messages de tolérance et de responsabilité citoyenne au sein de leurs communautés.
H. ADOU
Dans cette dynamique, des dialogues communautaires ont été organisés, du 3 au 25 mars, à Bouaké, Katiola et Gagnoa. Ces rencontres ont rassemblé les autorités locales, les forces de défense et de sécurité, les leaders communautaires, les jeunes, les femmes et les organisations de la société civile. L’objectif était de favoriser des échanges inclusifs et mettre en place des mécanismes préventifs pour des élections apaisées. Lors de la cérémonie d’ouverture, à Bouaké, Jocelyn Adepeau Yapo, secrétaire général de préfecture, représentant Tuo Fozié, préfet de région de Gbêkê, a insisté sur l’importance du dialogue pour la stabilité sociale.
« La paix est une œuvre collective qui se construit à travers la confiance mutuelle, la communication et le respect des valeurs démocratiques », a-t-il déclaré.
Il a souligné que ces initiatives permettent d’identifier, en amont, les sources potentielles de tensions et d’y apporter des solutions concertées. Quant au Dr Tobias Rüttershoff, représentant résident de la Fondation Konrad Adenauer, il a rappelé que les élections ne sont pas des moments de division. Elles doivent permettre de renforcer le vivre-ensemble. « Chacun à son niveau a un rôle à jouer dans la préservation de la paix et de la stabilité », a-t-il souligné.
Il a encouragé les participants à s’engager activement dans la sensibilisation et à relayer les messages de tolérance et de responsabilité citoyenne au sein de leurs communautés.
H. ADOU