Les fidèles musulmans de la commune d'Abobo ont fêté dans la joie. (DR)
Ramadan : Les Abobolais fêtent dans la joie et l’allégresse
La communauté musulmane de Côte d’Ivoire a célébré le dimanche 30 mars 2025, la fête de l’Aïd-El-Fitr ou encore la fête du ramadan marquant la fin du jeûne musulman. A Abobo, la fête a été célébrée dans la joie et dans l’allégresse.
La veille, c’est-à-dire le samedi 29 mars, après la confirmation par le Conseil supérieur des imams, des mosquées et des affaires islamiques (Cosim), de la date de la fête, c’était l’extase. Les groupuscules communément appelés « grins » se sont formés ça et là pour boire le thé et discuter de tout et de rien jusqu’à des heures tardives pour les uns et jusqu’à l’aube pour les autres.
En tout cas, de derrière rails à Anador en passant par le BC, Akeikoi, Marley, Kennedy, Clouétcha et Plateau Dokui, le constat était le même. Nombreux sont ceux surtout les jeunes, sont restés dehors jusque. Tôt le matin, personne n’a voulu se faire compter l’événement, hommes, femmes et enfants vêtus de leurs plus baux habits se sont rendus dans les différentes mosquées pour la prière prendre part à l’Aïd-El-Fitr.
« Nous venons de finir ce mois de pénitence, de prière et de partage saints et saufs. C’est vraiment une joie pour nous les croyants. Grâce à Allah, nous avons pu avoir de quoi contenter les enfants et les démunis, est une bénédiction de Dieu », s’est réjoui Adama Coulibaly, fidèle musulman à Abobo derrière rails.
Cette joie est partagée par Ali Ouattara du quartier Anador qui a vu la mise de Dieu sur ses activités à la veille du démarrage du jeûne musulman. Menuisier de son état, il se demandait comment faire face à cette situation avec ses deux épouses et ses sept enfants. « Je rend grâce à Dieu, tout s’est bien passé. J’ai eu un marché qui m’a permis de subvenir aux besoins quotidiens », dit-il, soulignant qu’une bonne volonté lui a offert la somme de 200 mille Fcfa plus trois sacs e riz de 50kg.
En tout cas, de derrière rails à Anador en passant par le BC, Akeikoi, Marley, Kennedy, Clouétcha et Plateau Dokui, le constat était le même. Nombreux sont ceux surtout les jeunes, sont restés dehors jusque. Tôt le matin, personne n’a voulu se faire compter l’événement, hommes, femmes et enfants vêtus de leurs plus baux habits se sont rendus dans les différentes mosquées pour la prière prendre part à l’Aïd-El-Fitr.
« Nous venons de finir ce mois de pénitence, de prière et de partage saints et saufs. C’est vraiment une joie pour nous les croyants. Grâce à Allah, nous avons pu avoir de quoi contenter les enfants et les démunis, est une bénédiction de Dieu », s’est réjoui Adama Coulibaly, fidèle musulman à Abobo derrière rails.
Cette joie est partagée par Ali Ouattara du quartier Anador qui a vu la mise de Dieu sur ses activités à la veille du démarrage du jeûne musulman. Menuisier de son état, il se demandait comment faire face à cette situation avec ses deux épouses et ses sept enfants. « Je rend grâce à Dieu, tout s’est bien passé. J’ai eu un marché qui m’a permis de subvenir aux besoins quotidiens », dit-il, soulignant qu’une bonne volonté lui a offert la somme de 200 mille Fcfa plus trois sacs e riz de 50kg.