Les femmes de Côte d'Ivoire ont, aux côtés de leurs hôtes, le couple Rai, pris connaissance du G100 qui est un outil puissant pour l'égalité du genre et le développement. (Ph: Dr)
Les femmes de Côte d'Ivoire ont, aux côtés de leurs hôtes, le couple Rai, pris connaissance du G100 qui est un outil puissant pour l'égalité du genre et le développement. (Ph: Dr)
Investissement en faveur de l’autonomisation des femmes: Euphrasie Yao présente le G100 aux femmes de Côte d’Ivoire
Sous le parrainage de la Première Dame, Dominique Ouattara, représentée pour par sa conseillère, Chantal Poaty, le 29 mars, la salle des fêtes du Sofitel Hôtel Ivoire de Cocody a abrité un dîner de gala.
La soirée, marquée par la présence de Docteure Harbeen Arora Rai, fondatrice du G100, a été ponctuée de discours et de rencontres de haut niveau en faveur de la promotion et de l’égalité de genre. L’objectif était de présenter le G100, un réseau mondial dédié à l’investissement et à l’autonomisation des femmes, aux ivoiriennes.
Étaient présents, Kandia Camara, présidente du Sénat; Raymonde Goudou-Coffie, ministre gouverneure du District autonome des Lacs; Jean-Claude Kouassi, ministre gouverneur du District autonome de la Vallée du Bandama, Danho Paulin, vice-gouverneur du District autonome d’Abidjan; Joachin Kouassi-Kanté, représentant du ministre des Affaires étrangères, Sailas Thangha, ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire et Jean-Marc Yacé, maire de Cocody.
De hauts fonctionnaires du Système des Nations unies, des femmes ambassadeurs, des élues, des cheffes d’entreprise et de grandes figures de la société civile faisaient partie des invités, signe de l'importance de cette initiative.
Devant ce beau monde, Docteure Euphrasie Kouassi Yao, présidente mondiale du G100 en charge des Premières Dames, a fait savoir que l'association est un réseau mondial réunissant 100 femmes influentes issues de divers domaines stratégiques. Il s'agit notamment de l’innovation, la diplomatie, l’éducation, l’entrepreneuriat, la paix et le développement durable.
Titulaire de la Chaire Unesco "Eau, Femmes et Pouvoir de Décisions", elle a été sollicitée en novembre 2024 pour rejoindre le G100. Cela, en raison de son expertise internationale en genre, paix et développement.
À l'en croire, cette reconnaissance témoigne non seulement de son engagement en faveur des droits des femmes, mais aussi de l’influence grandissante de la Côte d’Ivoire dans les sphères internationales de la diplomatie féminine.
« Le G100 est une passerelle entre les ambitions locales et les opportunités globales. Je suis fière d’y porter, avec rigueur, dignité et responsabilité, la voix des femmes de Côte d’Ivoire et de l’Afrique », a-t-elle déclaré, soulignant que son action s’inscrit dans une démarche de plaidoyer pour l’égalité des chances.
Axée sur l’investissement féminin, la rencontre a permis à Solange Amichia, directrice générale du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), de présenter le guichet unique "Investir au féminin". Elle a fait part des opportunités d’investissement, des dispositifs d’accompagnement et des mesures incitatives destinées à encourager l’entrepreneuriat féminin en Côte d’Ivoire.
Une reconnaissance des femmes influentes
Pour clore la soirée, 20 personnalités ayant contribué de manière significative à l’autonomisation des femmes et à l’essor économique du pays, ont été honorées.
Parmi elles, figurent Kandia Camara, présidente du Sénat; Raymonde Goudou-Coffie, ministre gouverneure du District autonome des Lacs, Jeanne Peuhmond, députée d'Abobo, Hien Sié Yacouba, directeur général du Port autonome d'Abidjan (Paa) et Célestine Assi Assi, directrice régionale des marchés publics.
La soirée a offert une visibilité au G100 qui attend beaucoup d’adhérentes en Côte d’Ivoire.
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Connecter les femmes du monde par la Côte d’Ivoire
Avant son départ de la Côte d'Ivoire, le 31 mars, à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny, Docteure Harbeen Arora Rai, fondatrice du G100, a réaffirmé son ambition de connecter les femmes du monde, en particulier celles d'Afrique, par le canal d’Euphrasie Kouassi Yao.
Étaient présents, Kandia Camara, présidente du Sénat; Raymonde Goudou-Coffie, ministre gouverneure du District autonome des Lacs; Jean-Claude Kouassi, ministre gouverneur du District autonome de la Vallée du Bandama, Danho Paulin, vice-gouverneur du District autonome d’Abidjan; Joachin Kouassi-Kanté, représentant du ministre des Affaires étrangères, Sailas Thangha, ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire et Jean-Marc Yacé, maire de Cocody.
De hauts fonctionnaires du Système des Nations unies, des femmes ambassadeurs, des élues, des cheffes d’entreprise et de grandes figures de la société civile faisaient partie des invités, signe de l'importance de cette initiative.
Devant ce beau monde, Docteure Euphrasie Kouassi Yao, présidente mondiale du G100 en charge des Premières Dames, a fait savoir que l'association est un réseau mondial réunissant 100 femmes influentes issues de divers domaines stratégiques. Il s'agit notamment de l’innovation, la diplomatie, l’éducation, l’entrepreneuriat, la paix et le développement durable.
Titulaire de la Chaire Unesco "Eau, Femmes et Pouvoir de Décisions", elle a été sollicitée en novembre 2024 pour rejoindre le G100. Cela, en raison de son expertise internationale en genre, paix et développement.
À l'en croire, cette reconnaissance témoigne non seulement de son engagement en faveur des droits des femmes, mais aussi de l’influence grandissante de la Côte d’Ivoire dans les sphères internationales de la diplomatie féminine.
« Le G100 est une passerelle entre les ambitions locales et les opportunités globales. Je suis fière d’y porter, avec rigueur, dignité et responsabilité, la voix des femmes de Côte d’Ivoire et de l’Afrique », a-t-elle déclaré, soulignant que son action s’inscrit dans une démarche de plaidoyer pour l’égalité des chances.
Axée sur l’investissement féminin, la rencontre a permis à Solange Amichia, directrice générale du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), de présenter le guichet unique "Investir au féminin". Elle a fait part des opportunités d’investissement, des dispositifs d’accompagnement et des mesures incitatives destinées à encourager l’entrepreneuriat féminin en Côte d’Ivoire.
Une reconnaissance des femmes influentes
Pour clore la soirée, 20 personnalités ayant contribué de manière significative à l’autonomisation des femmes et à l’essor économique du pays, ont été honorées.
Parmi elles, figurent Kandia Camara, présidente du Sénat; Raymonde Goudou-Coffie, ministre gouverneure du District autonome des Lacs, Jeanne Peuhmond, députée d'Abobo, Hien Sié Yacouba, directeur général du Port autonome d'Abidjan (Paa) et Célestine Assi Assi, directrice régionale des marchés publics.
La soirée a offert une visibilité au G100 qui attend beaucoup d’adhérentes en Côte d’Ivoire.
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Connecter les femmes du monde par la Côte d’Ivoire
Avant son départ de la Côte d'Ivoire, le 31 mars, à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny, Docteure Harbeen Arora Rai, fondatrice du G100, a réaffirmé son ambition de connecter les femmes du monde, en particulier celles d'Afrique, par le canal d’Euphrasie Kouassi Yao.
Le partenariat entre le G100 et la Côte d'Ivoire semble ouvrir une nouvelle ère pour l’entrepreneuriat et le leadership féminin en Afrique. (Ph: Dr)
« En tant qu’ambassadeur du leadership féminin mondial, Euphrasie Kouassi Yao doit permettre au G100 et surtout à moi, la fondatrice, de pouvoir accéder à toutes les femmes d’Afrique et du monde, partant de la Côte d’Ivoire », a-t-elle déclaré, soulignant que l'engagement d’Euphrasie Kouassi Yao s’est renforcé par le titre de docteur Honoris Causa.
Pour Euphrasie Kouassi Yao, présidente du G100 en charge des Premières Dames, il faut faire de cette organisation un levier puissant d’influence et de développement pour les femmes de Côte d'Ivoire, d’Afrique et du monde entier.
À l'en croire, « plus de 202 femmes ivoiriennes se sont inscrites, lors du dîner, pour intégrer le G100. Cela, afin de développer le mentorat, le leadership, les affaires et contribuer au développement du pays ».
Cette visite a également mis en lumière les opportunités économiques du pays. « Nous avons vu le potentiel économique de la Côte d'Ivoire. Le budget d’investissement de l’Inde pourrait passer de 1 à 10 milliards de dollars sur 10 ans », a indiqué Vinay Rai.