Sportivement : Sur le fil du rasoir
La prochaine Coupe du monde qui aura lieu en 2026, aux États-Unis, au Mexique et au Canada est entrée dans sa deuxième partie. C’est la première fois que ce tournoi planétaire est élargi à 48 équipes. Grand gagnant de cette réforme de la Fifa, le continent africain aura au moins neuf représentants qualifiés, contre cinq auparavant.
Au terme de ces éliminatoires, les premiers de chaque groupe seront qualifiés directement pour la Coupe du monde 2026. Les quatre meilleurs deuxièmes s'affronteront quant à eux dans un mini tournoi dont le vainqueur disputera un barrage intercontinental. La dernière fenêtre Fifa, du 19 au 25 mars, a permis de cocher la 5e et la 6e journée, sur 10 prévues. La bataille fait rage dans la zone Afrique.
La Côte d'Ivoire, dans le groupe F, tient le bon bout. Hormis son match nul (0-0) au Kenya, les Éléphants ont gagné tous leurs matchs. Ils sont même premiers de leur groupe F, avec 16 points contre 15 pour leur poursuivant direct, les Panthères du Gabon. Mais le chemin pour le Mondial Nord-américain est encore long.
Les Gabonais ne sont qu’à un petit point des Ivoiriens. Au moindre faux pas, ils s’accapareront l’unique billet du groupe. Et ça serait dommage pour la Côte d’Ivoire qui brûle d’envie de retrouver la scène mondiale, après 2006, 2010 et 2014. Il est vrai que les statistiques actuelles sont intéressantes pour la Côte d’Ivoire ; en six rencontres, ils ont inscrit 14 buts pour zéro but encaissé. Mais il faut faire très attention.
Le comportement des Éléphants sur le terrain ne donne pas beaucoup d’assurance. Contre le Burundi et la Gambie, les Pachydermes d’Emerse Faé ont présenté deux copies opposées : une première sans reproches où ils se sont créés plusieurs actions de buts et permis à Haller d’inscrire l’unique but du match. Et une seconde catastrophique, où il a fallu la baraqua du gardien d’Angers pour sauver les meubles.
Un Yahia Fofana de gala qui, à coup de parades (71e, 83e et 90e+1), a permis à la Côte d’Ivoire de triompher et de se repositionner à la première place du groupe. Que de lacunes ! Comment les Éléphants peuvent-ils briller en première mi-temps et s’obscurcir dans la seconde ? Ils ont fini le match sur les rotules. Incroyable, alors que cette équipe regorge, dit-on, de spécialistes en tout genre pour l'aider à récupérer après la fatigue. Que s’est-il passé sur ces deux derniers matchs ?
Pour les 7e et 8e journées des éliminatoires au mois de septembre prochain, les Ivoiriens recevront les Burundais avant d’aller défier les Gabonais, à Franceville dans un duel qui pourrait être déterminant pour la qualification. La rencontre fait déjà jaser. Libreville, la capitale gabonaise gonflée à bloc, attend de pied ferme les Ivoiriens.
Les Éléphants qui ont remporté la manche aller, à Korhogo (1-0), devront refaire le même coup, chez l'adversaire, pour être sûrs d’aller à la Coupe du monde 2026. La pression est plutôt du côté des Éléphants, sacrés champions d’Afrique le 11 février 2024 au stade d’Ebimpé. Il faut gagner tous les matchs.
La Côte d'Ivoire, dans le groupe F, tient le bon bout. Hormis son match nul (0-0) au Kenya, les Éléphants ont gagné tous leurs matchs. Ils sont même premiers de leur groupe F, avec 16 points contre 15 pour leur poursuivant direct, les Panthères du Gabon. Mais le chemin pour le Mondial Nord-américain est encore long.
Les Gabonais ne sont qu’à un petit point des Ivoiriens. Au moindre faux pas, ils s’accapareront l’unique billet du groupe. Et ça serait dommage pour la Côte d’Ivoire qui brûle d’envie de retrouver la scène mondiale, après 2006, 2010 et 2014. Il est vrai que les statistiques actuelles sont intéressantes pour la Côte d’Ivoire ; en six rencontres, ils ont inscrit 14 buts pour zéro but encaissé. Mais il faut faire très attention.
Le comportement des Éléphants sur le terrain ne donne pas beaucoup d’assurance. Contre le Burundi et la Gambie, les Pachydermes d’Emerse Faé ont présenté deux copies opposées : une première sans reproches où ils se sont créés plusieurs actions de buts et permis à Haller d’inscrire l’unique but du match. Et une seconde catastrophique, où il a fallu la baraqua du gardien d’Angers pour sauver les meubles.
Un Yahia Fofana de gala qui, à coup de parades (71e, 83e et 90e+1), a permis à la Côte d’Ivoire de triompher et de se repositionner à la première place du groupe. Que de lacunes ! Comment les Éléphants peuvent-ils briller en première mi-temps et s’obscurcir dans la seconde ? Ils ont fini le match sur les rotules. Incroyable, alors que cette équipe regorge, dit-on, de spécialistes en tout genre pour l'aider à récupérer après la fatigue. Que s’est-il passé sur ces deux derniers matchs ?
Pour les 7e et 8e journées des éliminatoires au mois de septembre prochain, les Ivoiriens recevront les Burundais avant d’aller défier les Gabonais, à Franceville dans un duel qui pourrait être déterminant pour la qualification. La rencontre fait déjà jaser. Libreville, la capitale gabonaise gonflée à bloc, attend de pied ferme les Ivoiriens.
Les Éléphants qui ont remporté la manche aller, à Korhogo (1-0), devront refaire le même coup, chez l'adversaire, pour être sûrs d’aller à la Coupe du monde 2026. La pression est plutôt du côté des Éléphants, sacrés champions d’Afrique le 11 février 2024 au stade d’Ebimpé. Il faut gagner tous les matchs.