Le gouvernement prend des mesures pour assurer un climat apaisé dans les établissements scolaires.
Le gouvernement prend des mesures pour assurer un climat apaisé dans les établissements scolaires.
Grève annoncée des enseignants : Mariatou Koné plaide pour le dialogue et la priorité à l'éducation
Dans un contexte de tensions sociales marqué par l'annonce d'une grève dans le secteur de l'éducation, la ministre de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation, Mariatou Koné, a reçu ce mercredi 2 avril 2025, plusieurs syndicats non signataires du préavis de grève. La rencontre, tenue à Abidjan-Plateau, dans la salle de conférence de la Direction des examens et concours, a permis à la ministre de saluer leur engagement en faveur du dialogue et leur sens du patriotisme.
"Ces syndicats non signataires du préavis de grève démontrent leur attachement à la négociation et leur volonté de préserver l'intérêt général, en dépit de leurs revendications légitimes, notamment sur la prime d'incitation", a souligné Mariatou Koné.
Des acquis obtenus sans grève
La ministre a mis en avant les nombreuses avancées enregistrées sous la houlette du Président de la République, Alassane Ouattara, sans recours à la grève. Elle a cité notamment, le déblocage, après 27 ans d'attente, des arriérés de salaire s'élevant à 245 milliards de francs CFA ; l'augmentation de l'allocation familiale de 200 % ; la revalorisation des primes de transport et de logement ; l'instauration de la prime exceptionnelle de fin d'année, dite "Prime Ado".
"Ces mesures illustrent la volonté du Président de la République d'améliorer les conditions de vie et de travail des enseignants, en reconnaissance du rôle essentiel qu'ils jouent dans le développement du pays", a-t-elle rappelé.
Soulignant l'importance de garantir la continuité des cours, surtout à l'approche des examens à grands tirages et dans le cadre de l'évaluation internationale du PASEC, la ministre a exhorté l'ensemble des acteurs de l'éducation à placer l'intérêt des élèves au centre de leurs préoccupations.
"L'école doit rester au-dessus des intérêts particuliers et partisans", a-t-elle insisté, appelant à l'unité et à la responsabilité.
Le soutien des syndicats non signataires
Quatorze syndicats ont choisi la voie de la négociation, préférant le dialogue à l'impasse d'une grève qui priverait de nombreux enfants de leur droit à l'éducation.
Ekoune Kouassi, Secrétaire général du SYNECCI, a exprimé la confiance des syndicats non signataires dans le Chef de l'État et le processus de concertation en cours. Il a également rappelé la mise en place d'un comité d'experts par le Conseil consultatif de la Fonction publique pour examiner la question de la prime d'incitation.
Afin d'assurer un climat apaisé dans les établissements scolaires, la ministre Mariatou Koné a réaffirmé la volonté du gouvernement de protéger aussi bien les enseignants que les élèves.
"Toutes les mesures nécessaires seront prises pour garantir la sécurité de tous et assurer le respect des droits de chacun", a-t-elle assuré.
En conclusion, elle a réitéré son appel à la responsabilité collective pour que l'éducation des enfants ivoiriens demeure une priorité nationale.
Des acquis obtenus sans grève
La ministre a mis en avant les nombreuses avancées enregistrées sous la houlette du Président de la République, Alassane Ouattara, sans recours à la grève. Elle a cité notamment, le déblocage, après 27 ans d'attente, des arriérés de salaire s'élevant à 245 milliards de francs CFA ; l'augmentation de l'allocation familiale de 200 % ; la revalorisation des primes de transport et de logement ; l'instauration de la prime exceptionnelle de fin d'année, dite "Prime Ado".
"Ces mesures illustrent la volonté du Président de la République d'améliorer les conditions de vie et de travail des enseignants, en reconnaissance du rôle essentiel qu'ils jouent dans le développement du pays", a-t-elle rappelé.
Soulignant l'importance de garantir la continuité des cours, surtout à l'approche des examens à grands tirages et dans le cadre de l'évaluation internationale du PASEC, la ministre a exhorté l'ensemble des acteurs de l'éducation à placer l'intérêt des élèves au centre de leurs préoccupations.
"L'école doit rester au-dessus des intérêts particuliers et partisans", a-t-elle insisté, appelant à l'unité et à la responsabilité.
Le soutien des syndicats non signataires
Quatorze syndicats ont choisi la voie de la négociation, préférant le dialogue à l'impasse d'une grève qui priverait de nombreux enfants de leur droit à l'éducation.
Ekoune Kouassi, Secrétaire général du SYNECCI, a exprimé la confiance des syndicats non signataires dans le Chef de l'État et le processus de concertation en cours. Il a également rappelé la mise en place d'un comité d'experts par le Conseil consultatif de la Fonction publique pour examiner la question de la prime d'incitation.
Afin d'assurer un climat apaisé dans les établissements scolaires, la ministre Mariatou Koné a réaffirmé la volonté du gouvernement de protéger aussi bien les enseignants que les élèves.
"Toutes les mesures nécessaires seront prises pour garantir la sécurité de tous et assurer le respect des droits de chacun", a-t-elle assuré.
En conclusion, elle a réitéré son appel à la responsabilité collective pour que l'éducation des enfants ivoiriens demeure une priorité nationale.