
. Pour la ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration, Anne Désirée Ouloto, les revendications des syndicats du secteur Éducation-Formation sont légitimes...(DR)
. Pour la ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration, Anne Désirée Ouloto, les revendications des syndicats du secteur Éducation-Formation sont légitimes...(DR)
Grève dans le secteur Éducation-formation : Le gouvernement ouvert au dialogue
La séance de salut aux couleurs du 7 avril 2025 au ministère d’Etat, ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration a revêtu une saveur particulière, car elle a été dédiée à tous les enfants de Côte d’Ivoire. Pour la ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration, Anne Désirée Ouloto, les revendications des syndicats du secteur Éducation-Formation sont légitimes. Toutefois, elles ne doivent en aucun cas compromettre ce droit essentiel. Toute fermeture d’école prive directement les enfants de leurs droits fondamentaux et met en péril leur avenir.
« Le dialogue, la négociation et la co-construction doivent toujours prévaloir. Ce sont ces voies responsables et républicaines qui ont permis d’obtenir de nombreux acquis sociaux pour les fonctionnaires. Le silence des écoles ne doit jamais être la réponse aux revendications sociales, car il nuit à la Nation », a dit Anne Désiré Ouloto.
I-sens et les exigences du service public
« Le service public est au cœur de l’action de l’État pour garantir l’égalité, la justice sociale et la solidarité nationale, reposant -1- sur trois principes : continuité, égalité et adaptabilité. Le fonctionnaire, agent du service public, doit allier ses aspirations personnelles aux besoins de la Nation.
II. Le droit à l’éducation : une priorité nationale
L'éducation occupe une place centrale dans le service public, car l’école façonne l’avenir. Le droit à l’éducation est inscrit dans la Constitution ivoirienne et la Convention internationale des droits de l’enfant. Toute fermeture d’école prive directement les enfants de leurs droits fondamentaux, compromettant leur avenir.
III. L’appel à la responsabilité et à la solidarité des syndicats
Les revendications des syndicats sont légitimes, mais elles ne doivent pas compromettre le droit à l’éducation des enfants. Les syndicats, partenaires sociaux essentiels, doivent préserver la continuité du service public et garantir que les droits des enfants ne soient pas pris en otage.
IV. La main tendue du gouvernement : Le dialogue
Le gouvernement reste ouvert au dialogue, structuré et institutionnalisé à travers divers comités. De nombreux acquis sociaux ont été obtenus grâce à ce dialogue, et le gouvernement assure que les préoccupations des fonctionnaires, en particulier dans le secteur éducatif, seront prises en compte avec sérieux et bienveillance.
V-Pour une République fidèle à ses valeurs :
En saluant le drapeau, nous nous renouvelons et nous renouvelons notre engagement envers la République, notre mission et notre devoir envers les enfants. Chaque citoyen a un rôle à jouer pour bâtir une Côte d’Ivoire stable et solidaire. Le dialogue, la négociation et la co-construction doivent prévaloir, mais le silence des écoles ne doit jamais être la réponse aux revendications sociales, car il nuit à la Nation »
Excellent mois d’avril à tous
NB : Les titres sont de la rédaction
I-sens et les exigences du service public
« Le service public est au cœur de l’action de l’État pour garantir l’égalité, la justice sociale et la solidarité nationale, reposant -1- sur trois principes : continuité, égalité et adaptabilité. Le fonctionnaire, agent du service public, doit allier ses aspirations personnelles aux besoins de la Nation.
II. Le droit à l’éducation : une priorité nationale
L'éducation occupe une place centrale dans le service public, car l’école façonne l’avenir. Le droit à l’éducation est inscrit dans la Constitution ivoirienne et la Convention internationale des droits de l’enfant. Toute fermeture d’école prive directement les enfants de leurs droits fondamentaux, compromettant leur avenir.
III. L’appel à la responsabilité et à la solidarité des syndicats
Les revendications des syndicats sont légitimes, mais elles ne doivent pas compromettre le droit à l’éducation des enfants. Les syndicats, partenaires sociaux essentiels, doivent préserver la continuité du service public et garantir que les droits des enfants ne soient pas pris en otage.
IV. La main tendue du gouvernement : Le dialogue
Le gouvernement reste ouvert au dialogue, structuré et institutionnalisé à travers divers comités. De nombreux acquis sociaux ont été obtenus grâce à ce dialogue, et le gouvernement assure que les préoccupations des fonctionnaires, en particulier dans le secteur éducatif, seront prises en compte avec sérieux et bienveillance.
V-Pour une République fidèle à ses valeurs :
En saluant le drapeau, nous nous renouvelons et nous renouvelons notre engagement envers la République, notre mission et notre devoir envers les enfants. Chaque citoyen a un rôle à jouer pour bâtir une Côte d’Ivoire stable et solidaire. Le dialogue, la négociation et la co-construction doivent prévaloir, mais le silence des écoles ne doit jamais être la réponse aux revendications sociales, car il nuit à la Nation »
Excellent mois d’avril à tous
NB : Les titres sont de la rédaction