
Jessica Dolatabali, responsable commerciale & communication de Ivoire facility management. (Ph: Dr)
Jessica Dolatabali, responsable commerciale & communication de Ivoire facility management. (Ph: Dr)
Archibat 2025 : IFM invite à la maintenance des bâtiments pour une durabilité
Dans le cadre de la 10e édition du Salon de l’architecture et du bâtiment (Archibat), qui se tient du 11 au 15 avril 2025, sur le thème : « Architecture et renouvellement urbain » au Parc des expositions d’Abidjan - Port-Bouët, Ivoire facility management (Ifm) (entreprise de droits ivoiriens), a organisé une conférence de presse, à son stand, sur le site de l’événement, le 11 avril 2025, à l’ouverture du salon.
L’objectif de cette rencontre avec la presse est de présenter la vision du groupe en matière d’architecture durable, au moment où il est de plus en plus question de villes durables.
« Notre présence à ce salon est placé sous le sceau de renouvellement urbain et de l’architecture durable. Notre métier, c’est de pérenniser les acquis, c’est-à-dire ce qui est déjà bâti. C’est vrai que nous ne sommes pas constructeurs mais nous aidons les constructeurs à utiliser au mieux les équipements et anticiper les besoins techniques pour garantir la durabilité. Nous sommes les acteurs de proximité de ces gestionnaires de bâtiments. Pour nous, une ville durable ne se résume pas à ses plans et ses fondations, elle tient de la qualité de sa gestion au quotidien », a déclaré Jessica Dolatabali, responsable commerciale & communication de cette entreprise, qui a animé cette conférence.
Avant d’ajouter que l’objectif est d’offrir un cadre de travail fluide, sécurisé et fiable. « Nous assurons la gestion intégrée des infrastructures, le fonctionnement optimum des bâtiments. Nous intervenons en amont des constructeurs et en aval des gestionnaires et opérateurs. Nous faisons durer ce que d’autres ont bâti », a-t-elle dit.
Justifiant sa position, Mme Dolatabali explique qu’un bâtiment sans gestion est un actif qui se dégrade vite et qui coûte finalement plus cher qu’il ne rapporte.
Le groupe veut accompagner ses partenaires, notamment les propriétaires et gestionnaires immobiliers à maîtriser leurs dépenses, à anticiper plutôt que réparer. Il s’agit également d’adapter les infrastructures aux nouveaux usages, les rendre plus résilientes et plus durables.
« Nous voulons optimiser l’existant, anticiper les pannes avant qu’elles ne surviennent, faire des contrôles réguliers et des interventions ciblées pour prévenir les incidents afin de maintenir les équipements en bon état », a-t-elle souligné.
Aussi, dira-t-elle, la sécurité et la maintenance ne doit pas être un service annexe, relégué au second plan, dans un projet de construction ou rénovation mais comme un maillon essentiel de performance et de stabilité.
Au clair, il s’agit de faire preuve d’intelligence économique en garantissant une rentabilité plus longue. Ce qui permet de gagner en sérénité et en performance.
C’est à juste titre qu’elle s’est félicitée de cette tribune offerte par « Archibat » qui se présente comme une opportunité pour les villes de demain.
Ifm se présente donc comme un acteur majeur de l’architecture durable en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest.
Selon la Banque mondiale, 49% de la population ivoirienne vit en zone urbaine (statistiques 2025). Dans ce contexte d’urbanisation rapide, la question de la gestion durable des bâtiments et des infrastructures n’est plus une option mais un enjeu stratégique. L’avenir urbain des territoires en dépend.
Une correspondance particulière de E.Y.
« Notre présence à ce salon est placé sous le sceau de renouvellement urbain et de l’architecture durable. Notre métier, c’est de pérenniser les acquis, c’est-à-dire ce qui est déjà bâti. C’est vrai que nous ne sommes pas constructeurs mais nous aidons les constructeurs à utiliser au mieux les équipements et anticiper les besoins techniques pour garantir la durabilité. Nous sommes les acteurs de proximité de ces gestionnaires de bâtiments. Pour nous, une ville durable ne se résume pas à ses plans et ses fondations, elle tient de la qualité de sa gestion au quotidien », a déclaré Jessica Dolatabali, responsable commerciale & communication de cette entreprise, qui a animé cette conférence.
Avant d’ajouter que l’objectif est d’offrir un cadre de travail fluide, sécurisé et fiable. « Nous assurons la gestion intégrée des infrastructures, le fonctionnement optimum des bâtiments. Nous intervenons en amont des constructeurs et en aval des gestionnaires et opérateurs. Nous faisons durer ce que d’autres ont bâti », a-t-elle dit.
Justifiant sa position, Mme Dolatabali explique qu’un bâtiment sans gestion est un actif qui se dégrade vite et qui coûte finalement plus cher qu’il ne rapporte.
Le groupe veut accompagner ses partenaires, notamment les propriétaires et gestionnaires immobiliers à maîtriser leurs dépenses, à anticiper plutôt que réparer. Il s’agit également d’adapter les infrastructures aux nouveaux usages, les rendre plus résilientes et plus durables.
« Nous voulons optimiser l’existant, anticiper les pannes avant qu’elles ne surviennent, faire des contrôles réguliers et des interventions ciblées pour prévenir les incidents afin de maintenir les équipements en bon état », a-t-elle souligné.
Aussi, dira-t-elle, la sécurité et la maintenance ne doit pas être un service annexe, relégué au second plan, dans un projet de construction ou rénovation mais comme un maillon essentiel de performance et de stabilité.
Au clair, il s’agit de faire preuve d’intelligence économique en garantissant une rentabilité plus longue. Ce qui permet de gagner en sérénité et en performance.
C’est à juste titre qu’elle s’est félicitée de cette tribune offerte par « Archibat » qui se présente comme une opportunité pour les villes de demain.
Ifm se présente donc comme un acteur majeur de l’architecture durable en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest.
Selon la Banque mondiale, 49% de la population ivoirienne vit en zone urbaine (statistiques 2025). Dans ce contexte d’urbanisation rapide, la question de la gestion durable des bâtiments et des infrastructures n’est plus une option mais un enjeu stratégique. L’avenir urbain des territoires en dépend.
Une correspondance particulière de E.Y.