Faustin Ehouman, journaliste à Fraternité Matin, Super Ebony 2024.
Faustin Ehouman, Super Ebony : « Fraternité Matin m’a tout donné »
Un an après avoir été consacré meilleur journaliste de la presse écrite de Côte d’Ivoire, vous récidivez et vous remportez le Super prix. Vous êtes un bel exemple de résilience !
C’est le fruit de la constance. Cela fait trois éditions que je participe au Prix Ebony. La première participation, c’était en 2022 où j’ai obtenu le Prix spécial en Agro-économie. En 2023, j’ai obtenu 3 prix : Meilleure interview, Meilleure enquête et l’Ebony de la presse écrite. Cette année, j’ai décroché le Prix de la meilleure interview et celui de la presse écrite. Ce qui m’a permis de décrocher le Super prix. C’est le couronnement d’un effort constant. C’est aussi le succès d’une stratégie de travail adaptée au Prix Ebony. Car c’est une compétition dont il faut comprendre l’esprit et s’y adapter. Quoi qu’il en soit, au-delà de la stratégie, il faut mettre en priorité notre mission auprès du public et traiter des thématiques proches de leurs réalités.
Quel sera le poids du statut de Super Ebony dans votre vie professionnelle ?
C’est une grande responsabilité qui repose désormais sur nos épaules. Nous sortons de l’anonymat et notre travail est désormais très suivi par l’opinion. Nous sommes obligés de nous surpasser pour être toujours au niveau des attentes. Par ailleurs, ce statut de Super Ebony nous oblige à traiter des sujets pertinents et proches des réalités des populations.
Où puisez-vous l’énergie pour vous lancer, à trois reprises, dans une telle compétition ?
Je le vis comme une passion. Je ne fais pas de la victoire une fixation, persuadé que chaque échec nous permet d’apprendre. Par ailleurs, j’estime que le journalisme est un métier de carrière et dans ma carrière, j’ai des cases à cocher. Dieu merci, j’ai pu les cocher après dix années de pratique du métier. J’ai pu également réaliser les objectifs que je me suis fixés à court et moyen terme. Désormais, mon défi à long terme, c’est de devenir l’ami des lecteurs en établissant une proximité avec eux.
Avez-vous des conseils pour les jeunes journalistes pour qui vous êtes un modèle ?
Je les invite à aborder ce métier avec beaucoup d’humilité, à apprendre et surtout à s’intéresser aux grands genres journalistiques qui mettent le journaliste en lumière. Par ailleurs, je veux adresser des remerciements à Fraternité Matin et à toutes ses ressources humaines qui ont contribué, de près ou de loin, à ce sacre. Je pense spécialement à toute la rédaction, l’équipe d’encadrement, à la direction générale du groupe et au président du Conseil d’administration pour leur soutien. Je suis très reconnaissant à Fraternité Matin. Cette entreprise m’a tout donné. J’y suis entré juste après ma formation et c’est dans ce groupe de presse que je me suis forgé.
Propos recueillis par
Quel sera le poids du statut de Super Ebony dans votre vie professionnelle ?
C’est une grande responsabilité qui repose désormais sur nos épaules. Nous sortons de l’anonymat et notre travail est désormais très suivi par l’opinion. Nous sommes obligés de nous surpasser pour être toujours au niveau des attentes. Par ailleurs, ce statut de Super Ebony nous oblige à traiter des sujets pertinents et proches des réalités des populations.
Où puisez-vous l’énergie pour vous lancer, à trois reprises, dans une telle compétition ?
Je le vis comme une passion. Je ne fais pas de la victoire une fixation, persuadé que chaque échec nous permet d’apprendre. Par ailleurs, j’estime que le journalisme est un métier de carrière et dans ma carrière, j’ai des cases à cocher. Dieu merci, j’ai pu les cocher après dix années de pratique du métier. J’ai pu également réaliser les objectifs que je me suis fixés à court et moyen terme. Désormais, mon défi à long terme, c’est de devenir l’ami des lecteurs en établissant une proximité avec eux.
Avez-vous des conseils pour les jeunes journalistes pour qui vous êtes un modèle ?
Je les invite à aborder ce métier avec beaucoup d’humilité, à apprendre et surtout à s’intéresser aux grands genres journalistiques qui mettent le journaliste en lumière. Par ailleurs, je veux adresser des remerciements à Fraternité Matin et à toutes ses ressources humaines qui ont contribué, de près ou de loin, à ce sacre. Je pense spécialement à toute la rédaction, l’équipe d’encadrement, à la direction générale du groupe et au président du Conseil d’administration pour leur soutien. Je suis très reconnaissant à Fraternité Matin. Cette entreprise m’a tout donné. J’y suis entré juste après ma formation et c’est dans ce groupe de presse que je me suis forgé.
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