Les populations se sont faites enrôler massivement. (Ph: Dr)
Béoumi/Couverture maladie universelle : Les populations d’Afotobo ont reçu leurs cartes
Claude Boni, assistant du directeur général de la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam), par ailleurs cadre d’Afotobo, village de la sous-préfecture de Béoumi, a tenu, qu’à l’occasion de la célébration de "Paquinou", une opération d’enrôlement à la Couverture maladie universelle (Cmu) de ses parents d’Afotobo puisse avoir lieu au sein de leur village. Elle s’est déroulée le 18 avril 2025, au sein de l’école primaire du village.
Justifiant la portée d’une telle opération, Claude Boni, l’initiateur, a expliqué qu'il a jugé bon de profiter de la période de Paquinou, qui draine du monde, pour les sensibiliser à se faire enrôler et ainsi arriver à faire enrôler un nombre important de parents. « Il faut savoir que la Cnam est obligatoire pour les Ivoiriens et tous ceux qui vivent avec nous. C’est pourquoi nous profitons de cette mobilisation de nos parents pour les aider à rentrer en possession de leur carte et de bénéficier des avantages qui s’y rattachent », a-t-il-dit.
Marquant son soutien indéfectible à cette opération, Michaël Bézême, sous-préfet de Béoumi, en s’adressant à ses administrés, leur a fait savoir que le gouvernement en initiant cette assurance, c’est pour leur bien-être surtout ceux qui n’ont pas les moyens financiers pour se soigner. Par conséquent, il a exhorté les uns et les autres à profiter pour se faire enrôler.
« Pour ce qui est des documents administratifs, l’Etat vous a facilité la tâche. Quel que soit le document administratif dont vous disposez, vous serez enrôlés. Même si vous ne disposez d’aucun document administratif, vous serez enrôlés à partir d’une déclaration sur l’honneur avec à vos côtés deux témoins », a-t-il expliqué.
Au-delà de l’aspect, leur a-t-il persuadé, cette carte peut être utilisée comme un document d’identification. « Au cours d’un contrôle, si vous avez la carte étant donné qu’il est inscrit que vous êtes ivoirien, cela permet aux agents de contrôle de savoir qui vous êtes », a-t-il insisté.
Leurs messages ont été persuasifs puisque dès que la cérémonie a pris fin, les populations présentes se sont faites enrôler. C’est le cas de Jean Koffi Ahoutou, chauffeur exerçant à Abidjan. « En fin, j’ai ma carte. Je suis heureux de la détenir ». Il est d’autant plus heureux que la carte lui a été délivrée immédiatement. « Je n’ai pas déboursé d’argent pour l’obtenir », a-t-il révélé.
Pour sa part, Nanan Ahouman Konan, chef de Démakro, qui s’est fait enrôler depuis près de deux ans, a reçu sa carte après quelques corrections. « J’attendais depuis deux ans ma carte. Je l’ai maintenant. Je pourrai me faire soigner à moindre coût », s’est-il réjoui.
Notons qu’auparavant, les populations ont bénéficié d’une opération de dépistage de certaines pathologies métaboliques telles que le diabète et la tension qui font des ravages au sein des populations.
CORRESPONDANT REGIONAL
Marquant son soutien indéfectible à cette opération, Michaël Bézême, sous-préfet de Béoumi, en s’adressant à ses administrés, leur a fait savoir que le gouvernement en initiant cette assurance, c’est pour leur bien-être surtout ceux qui n’ont pas les moyens financiers pour se soigner. Par conséquent, il a exhorté les uns et les autres à profiter pour se faire enrôler.
« Pour ce qui est des documents administratifs, l’Etat vous a facilité la tâche. Quel que soit le document administratif dont vous disposez, vous serez enrôlés. Même si vous ne disposez d’aucun document administratif, vous serez enrôlés à partir d’une déclaration sur l’honneur avec à vos côtés deux témoins », a-t-il expliqué.
Au-delà de l’aspect, leur a-t-il persuadé, cette carte peut être utilisée comme un document d’identification. « Au cours d’un contrôle, si vous avez la carte étant donné qu’il est inscrit que vous êtes ivoirien, cela permet aux agents de contrôle de savoir qui vous êtes », a-t-il insisté.
Leurs messages ont été persuasifs puisque dès que la cérémonie a pris fin, les populations présentes se sont faites enrôler. C’est le cas de Jean Koffi Ahoutou, chauffeur exerçant à Abidjan. « En fin, j’ai ma carte. Je suis heureux de la détenir ». Il est d’autant plus heureux que la carte lui a été délivrée immédiatement. « Je n’ai pas déboursé d’argent pour l’obtenir », a-t-il révélé.
Pour sa part, Nanan Ahouman Konan, chef de Démakro, qui s’est fait enrôler depuis près de deux ans, a reçu sa carte après quelques corrections. « J’attendais depuis deux ans ma carte. Je l’ai maintenant. Je pourrai me faire soigner à moindre coût », s’est-il réjoui.
Notons qu’auparavant, les populations ont bénéficié d’une opération de dépistage de certaines pathologies métaboliques telles que le diabète et la tension qui font des ravages au sein des populations.
CORRESPONDANT REGIONAL