
Eliakim Coulibaly en bleu (Côte d'Ivoire) et Ricardas Berankis en rouge et blanc (Lituanie). (Ph: Dr)
Eliakim Coulibaly en bleu (Côte d'Ivoire) et Ricardas Berankis en rouge et blanc (Lituanie). (Ph: Dr)
Tennis Atp Challenger 50/Eliakim Coulibaly-Ricardas Berankis : Une demi-finale de feu à l'Ivoire
Eliakim Coulibaly (Atp 319) poursuit son impressionnante série de trois victoires d'affilée. Ce samedi 26 avril 2025, en demi-finale, le tennisman ivoirien croise le Lituanien Ricardas Berankis (Atp 294), à partir de 14h, sur les courts du Central tennis club de l'Hôtel ivoire.
Berankis est un sacré client au sacre, qui a déjà figuré dans le Top 50 mondial, en 2016. Il a battu le Français Clément Chidekh en deux sets (7/6 ; 7/6) pour arriver à ce stade de la compétition. Du coup cette confrontation s'annonce épique.
Pour atteindre les demi-finales, Eliakim Coulibaly n’a concédé aucun set à ses adversaires. Question de ne pas se mettre sous pression. Mercredi, en huitièmes de finale contre le Russe Kirill Kivattsev, Eliakim n’a pas tergiversé. En deux sets, il avait plié la partie (6/2 ; 6/4), avec des statistiques encourageantes (12 jeux gagnés contre 6 pour le Russe et 40 points de service gagnés).
Le vendredi 25 avril, en quarts de finale, le numéro 1 ivoirien a terrassé le Georgien Aleksandre Bakshi (6/2 ; 6/0), avec 86 % de succès au premier service et 91 % au deuxième service. C’était presque pareil en 16e de finale face à Florent Bax (6/2 ; 6/4).
Pour ceux qui ont suivi l’Atp challenger 50 d’Abidjan depuis le début, on ne met pas 6/2, 6/4 à Bax et Kivattesev, puis 6/2, 6/0 à Bakshi (même avec un petit doute sur l'état général de ces joueurs de renom). Mais Eliakim Coulibaly l’a fait. Le moins que l’on puisse dire est que le gaucher ivoirien a été expéditif sur ses trois derniers matchs.
Un vrai mort de faim qui a cavalé de partout pour instiller un sacré sentiment d'impuissance chez ses adversaires. Un sursaut d’orgueil du tennisman devant son public qui fait du bien au patron de la Fédération ivoirienne de tennis, Me Sylvère Koyo, qui n’a pas obtenu ce tournoi pour les beaux yeux de l’Itf.
Justement, c’est pour voir performer les athlètes ivoiriens et leur permettre de gravir les échelons sur le plan international qu’il se donne cette peine. Et le fils de Dieudonné Coulibaly (enseignant de tennis) le lui rend bien.
Eliakim Coulibaly avait raté le premier tournoi. Il avait été éliminé d’entrée de jeu par le Marocain Taha Baadi (7/5 ; 4/6 ; 6/4).
Cette fois, il a juré de s’imposer à domicile et jusqu’ici, personne ne le fait jouer au-dessus de l'épaule, alors il s'éclate comme un petit fou. Pourvu que cela continue.
Pour atteindre les demi-finales, Eliakim Coulibaly n’a concédé aucun set à ses adversaires. Question de ne pas se mettre sous pression. Mercredi, en huitièmes de finale contre le Russe Kirill Kivattsev, Eliakim n’a pas tergiversé. En deux sets, il avait plié la partie (6/2 ; 6/4), avec des statistiques encourageantes (12 jeux gagnés contre 6 pour le Russe et 40 points de service gagnés).
Le vendredi 25 avril, en quarts de finale, le numéro 1 ivoirien a terrassé le Georgien Aleksandre Bakshi (6/2 ; 6/0), avec 86 % de succès au premier service et 91 % au deuxième service. C’était presque pareil en 16e de finale face à Florent Bax (6/2 ; 6/4).
Pour ceux qui ont suivi l’Atp challenger 50 d’Abidjan depuis le début, on ne met pas 6/2, 6/4 à Bax et Kivattesev, puis 6/2, 6/0 à Bakshi (même avec un petit doute sur l'état général de ces joueurs de renom). Mais Eliakim Coulibaly l’a fait. Le moins que l’on puisse dire est que le gaucher ivoirien a été expéditif sur ses trois derniers matchs.
Un vrai mort de faim qui a cavalé de partout pour instiller un sacré sentiment d'impuissance chez ses adversaires. Un sursaut d’orgueil du tennisman devant son public qui fait du bien au patron de la Fédération ivoirienne de tennis, Me Sylvère Koyo, qui n’a pas obtenu ce tournoi pour les beaux yeux de l’Itf.
Justement, c’est pour voir performer les athlètes ivoiriens et leur permettre de gravir les échelons sur le plan international qu’il se donne cette peine. Et le fils de Dieudonné Coulibaly (enseignant de tennis) le lui rend bien.
Eliakim Coulibaly avait raté le premier tournoi. Il avait été éliminé d’entrée de jeu par le Marocain Taha Baadi (7/5 ; 4/6 ; 6/4).
Cette fois, il a juré de s’imposer à domicile et jusqu’ici, personne ne le fait jouer au-dessus de l'épaule, alors il s'éclate comme un petit fou. Pourvu que cela continue.