Orpaillage clandestin: Une œuvre littéraire révèle la face cachée du phénomène dans le nord de la Côte d’Ivoire
« La face cachée de l'orpaillage dans le Nord de la Côte d’Ivoire ». Tel est le titre de l'ouvrage du Dr Kouamé Hyacinthe Konan, Maître de conférences en géographie rurale et économique à l’Université Péléforo Gon Coulibaly.
Dans ce livre de 203 pages, l’écrivain aborde dix chapitres et cinq grandes thématiques que sont : la dynamique de l'espace face l'orpaillage ; l'orpaillage comme moyen de résilience des populations face aux industries peu soucieuses du bien-être à long terme des populations locales ; la fébrilité du code minier face à l'orpaillage, lien orpaillage et extrémisme violent, in la gestion participative...
Par une gestion participative incluant l'Etat et les populations locales, il propose d'en faire l'économie formelle. À travers son œuvre, Dr Hyacinthe Konan explique que la répression est une solution de courte durée.
Pour lui, il faut plutôt un cadre administratif et juridique plus adapté et un accompagnement permettant aux acteurs opérant dans la clandestinité, de devenir des entités formelles et à contribuer significativement à l’économie ivoirienne.
En substance, il invite l’État à travailler à une formalisation des acteurs clandestins. Car soutient-il, la procédure de la formalisation est souvent lourde et onéreuse pour ces derniers.
Pour l’auteur, nul doute que cet ouvrage vient combler un vide sur une thématique très importante. Selon lui, il permettra d’alimenter les échanges sur la thématique, de susciter d’autres productions afin d’aborder les aspects non pris en compte.
Par une gestion participative incluant l'Etat et les populations locales, il propose d'en faire l'économie formelle. À travers son œuvre, Dr Hyacinthe Konan explique que la répression est une solution de courte durée.
Pour lui, il faut plutôt un cadre administratif et juridique plus adapté et un accompagnement permettant aux acteurs opérant dans la clandestinité, de devenir des entités formelles et à contribuer significativement à l’économie ivoirienne.
En substance, il invite l’État à travailler à une formalisation des acteurs clandestins. Car soutient-il, la procédure de la formalisation est souvent lourde et onéreuse pour ces derniers.
Pour l’auteur, nul doute que cet ouvrage vient combler un vide sur une thématique très importante. Selon lui, il permettra d’alimenter les échanges sur la thématique, de susciter d’autres productions afin d’aborder les aspects non pris en compte.