
Le comité d’organisation du festival a déjà le regard tourné vers la troisième édition. (Ph: Dr)
Le comité d’organisation du festival a déjà le regard tourné vers la troisième édition. (Ph: Dr)
Musique islamique : Le Festival Happy-Tabaski égaye le quartier Marcory Aliodan
Unir toutes les couches de la société à travers la musique religieuse. Tel est le noble objectif poursuivi par le Festival Happy-Tabaski, dont la deuxième édition a récemment eu lieu au foyer des jeunes d’Aliodan, dans la commune de Marcory.
C’est une initiative de l’artiste-chanteur musulman Ali Akbar et l’Association des jeunes musulmans Alul-bayts de Côte d’Ivoire. L’évènement a enregistré la prestation de plusieurs chanteurs islamiques tels que Barakissa, Maher Zain Junior, le Roi Ramadan. Sans oublier le promoteur du festival qui s’est aussi présenté sur scène au plus grand bonheur du public.
Il a expliqué que ce festival se veut une plateforme de détection et d’encouragement des nouveaux talents de la musique islamique. Mais bien au-delà, cette initiative, a-t-il insisté, ne veut pas restreindre son action aux musulmans. Il entend toucher aussi toutes les obédiences religieuses. « Nous voulons réunir les jeunes ivoiriens de toutes les croyances. Aussi bien les chrétiens que les autres confessions religieuses afin de favoriser les échanges », a-t-il expliqué.
En outre, a-t-il poursuivi, le choix d’un quartier défavorisé tel qu’Aliodan pour abriter cet évènement répond à une stratégie. Sensibiliser les jeunes à certains fléaux (drogue, violence, etc.).
C’est d’ailleurs dans cette perspective que s’est opéré le choix du thème de cette deuxième édition du festival : ‘’La jeunesse ivoirienne face aux défis de la société’’.
Il a expliqué que ce festival se veut une plateforme de détection et d’encouragement des nouveaux talents de la musique islamique. Mais bien au-delà, cette initiative, a-t-il insisté, ne veut pas restreindre son action aux musulmans. Il entend toucher aussi toutes les obédiences religieuses. « Nous voulons réunir les jeunes ivoiriens de toutes les croyances. Aussi bien les chrétiens que les autres confessions religieuses afin de favoriser les échanges », a-t-il expliqué.
En outre, a-t-il poursuivi, le choix d’un quartier défavorisé tel qu’Aliodan pour abriter cet évènement répond à une stratégie. Sensibiliser les jeunes à certains fléaux (drogue, violence, etc.).
C’est d’ailleurs dans cette perspective que s’est opéré le choix du thème de cette deuxième édition du festival : ‘’La jeunesse ivoirienne face aux défis de la société’’.