Le directeur général de la police nationale accueilli par ses collaborateurs. (Ph: DGPN)

« Dans le cadre de cette opération, nous avons engagé un effectif de 3509 agents. Nous avons quadrillé nos différentes zones de compétence en effectuant des patrouilles de jour comme de nuit. Ce qui a permis de sécuriser les espaces publics, des plages de Port-Bouët, de Grand-Bassam ainsi que des activités socioculturelles, notamment Wozo vacances », a rassuré le chef du district de police.

Revenant sur les résultats, le commissaire principal de police a révélé qu’il y a eu 21 personnes déférées, 102 véhicules de plaques banalisées et 21 de vitres teintées immobilisés, 44 fumoirs détruits, 76 chicha et 351 boulettes de cannabis et plusieurs autres objets saisis. Par ailleurs, le chef de district de police a relevé quelques difficultés liées à l’état de la route.

A l’occasion des échanges, le directeur général de la police nationale a félicité les agents. Car fait-il savoir, cette opération a non seulement permis d’intensifier le rapport de collaboration police-population, mais aussi et surtout, une baisse considérable de l’indice de sécurité.

Le commissaire principal de police Thio N’Klobi Richard, chef du Centre opérationnel de la police nationale. (Ph: DGPN)

« Aujourd’hui, à Anani, les indicateurs de sécurité sont visibles. Les travaux de construction sont accélérés, les maisons deviennent de plus en chères, tout le monde veut être à Anani. C’est pourquoi, en plus des bâtiments qui abritent le district de police, la Crs, le commissariat, il faut la construction d’une Brigade de recherche des individus (Bri) », fait remarquer le patron de la police nationale.

Une correspondance particulière de D.A.