La présidente et son bureau régional engagés à aller partout pour sensibiliser les populations à la paix et à la cohésion. (Ph: Dr)
La présidente et son bureau régional engagés à aller partout pour sensibiliser les populations à la paix et à la cohésion. (Ph: Dr)
Paix et cohésion sociale : Vincent Toh Bi en campagne de sensibilisation à Diabo
Vincent Toh Bi Irié, ex-Préfet d’Abidjan, premier responsable de l'Ong « Aube Nouvelle », parcourt la Côte d’Ivoire pour sensibiliser les Ivoiriens et tous ceux qui y vivent à la nécessité de préserver la paix et d’entretenir la cohésion, gage de tout développement.
Aussi, pour atteindre ses objectifs, le préfet hors hiérarchie a décidé d’étendre la toile de sa structure de veille en installant des représentations sur tout le territoire national. C’est en cela qu’il a présenté officiellement le 31 août 2024, à Diabo, la présidente et le bureau régional de « Aube Nouvelle » de Gbêkê, aux autorités locales, aux chefs coutumiers et aux populations.
Au-delà de la présentation, Vincent Toh Bi, avec l’élection présidentielle qui se profile à l’horizon, a saisi cette aubaine pour sensibiliser les couches sociales de Diabo.
Pour lui, les élections en Côte d’Ivoire ne devraient plus être synonymes de division. « Les grands drames que nous avions connus dans notre pays, ne sont pas liés aux inondations encore moins aux feux de brousse. Même Ebola lorsqu’il a touché notre pays, n’a même pas fait le dixième de victimes que la Côte d’Ivoire a connu lors des processus électoraux », a-t-il fait le triste constat. Non sans inviter les uns et les autres à contribuer à leur niveau à faire changer cette dynamique qui n’est pas une fatalité. « Tant que nous allons considérer la politique comme une arène de combat, de déchirement, de palabre... la paix sera perturbée et le développement de notre pays sera retardé », a averti Vincent Toh Bi.
Aussi, le président de « Aube Nouvelle » a tenu à lancer un appel à toutes les composantes de la société à promouvoir partout où besoin sera, les valeurs de paix et de cohésion sociale pour une Côte d’Ivoire rassemblée et résolument tournée vers le développement.
Suffisamment imprégnée des missions qui lui sont assignées, Dr Safiétou Koné, enseignante à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, dira que son bureau et elle seront des acteurs de terrain. « Nous allons parcourir les villes, villages et hameaux de la région pour distiller les valeurs de paix et de cohésion qu’elles deviennent des valeurs cardinales pour les populations », s’est-elle engagée.
CORRESPONDANT REGIONAL
Au-delà de la présentation, Vincent Toh Bi, avec l’élection présidentielle qui se profile à l’horizon, a saisi cette aubaine pour sensibiliser les couches sociales de Diabo.
Pour lui, les élections en Côte d’Ivoire ne devraient plus être synonymes de division. « Les grands drames que nous avions connus dans notre pays, ne sont pas liés aux inondations encore moins aux feux de brousse. Même Ebola lorsqu’il a touché notre pays, n’a même pas fait le dixième de victimes que la Côte d’Ivoire a connu lors des processus électoraux », a-t-il fait le triste constat. Non sans inviter les uns et les autres à contribuer à leur niveau à faire changer cette dynamique qui n’est pas une fatalité. « Tant que nous allons considérer la politique comme une arène de combat, de déchirement, de palabre... la paix sera perturbée et le développement de notre pays sera retardé », a averti Vincent Toh Bi.
Aussi, le président de « Aube Nouvelle » a tenu à lancer un appel à toutes les composantes de la société à promouvoir partout où besoin sera, les valeurs de paix et de cohésion sociale pour une Côte d’Ivoire rassemblée et résolument tournée vers le développement.
Suffisamment imprégnée des missions qui lui sont assignées, Dr Safiétou Koné, enseignante à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, dira que son bureau et elle seront des acteurs de terrain. « Nous allons parcourir les villes, villages et hameaux de la région pour distiller les valeurs de paix et de cohésion qu’elles deviennent des valeurs cardinales pour les populations », s’est-elle engagée.
CORRESPONDANT REGIONAL