Les Pachydermes de Faé sont déterminés à mouiller le maillot face aux Chipolopolo. (Ph: Abdoulaye Coulibaly)
Les Pachydermes de Faé sont déterminés à mouiller le maillot face aux Chipolopolo. (Ph: Abdoulaye Coulibaly)
Côte d’Ivoire-Zambie, ce soir (19h) : Spectacle garanti au stade de la paix
Les champions d'Afrique mettent officiellement leur titre en jeu, avec la première journée des éliminatoires de la Can Maroc 2025.
Grand favori du groupe G des éliminatoires de la Can 2025, le sort a voulu que les Éléphants débutent leur campagne par le favori de la poule, la Zambie. Du coup, ce match revêt un autre caractère.
Le vainqueur de cette partie marquera son territoire dans ce groupe. Ce sera donc un match de haut niveau au vu de l’enjeu. Les Bouakois l’ont si bien compris que depuis l’arrivée des Pachydermes ivoiriens mercredi dernier, une fièvre s’est emparée de la ville.
« Tout le monde se souvient de ce match contre le Mali. On espère que ce ne sera pas le même scénario, mais nous avons envie de vivre de belles émotions », explique Jérôme Koffi, enseignant dans un établissement privé de la capitale de Gbêkê qui venait à peine de récupérer son ticket que lui a ramené un ami d’Abidjan.
Du spectacle et mais surtout de l’intensité, il y en aura forcément dans ce match qui oppose deux équipes qui se connaissent bien. En l’espace de deux ans, c’est la troisième fois que les deux équipes se défient. La dernière en juin 2023 n’a pas laissé de très bons souvenirs aux Éléphants.
Dans un stade de Ndola plein à craquer, les Éléphants s’étaient liquéfiés face à la détermination de Patson Daka, Fashion Sakala, et autres Emmanuel Banda. Une défaite (0-3), restée au travers de la gorge d’Emerse Faé qui était à l’époque, l’adjoint de Jean Louis Gasset.
L’entraîneur des Éléphants sait donc à quelle adversité s’attendre. « Je sais comment ils vont jouer », a déclaré l’entraîneur des Éléphants en conférence de presse. Gagner pour marquer son territoire mais surtout, rendre la pièce de la monnaie aux Zambiens. « Ce sera une revanche pour nous, puisque le match en Zambie m’est resté toujours à l’esprit », a-t-il ajouté.
Faé a les hommes pour faire la différence dans ce match. Malgré l’absence de quelques joueurs expérimentés, les jeunes présents dans le groupe ont d’énormes talents. Dans une équipe où les places coûtent cher, personne n’a intérêt à lever le pied. Il faut toutefois se méfier des Zambiens et de leur rusé entraîneur Avram Grant.
Les 15 premières minutes seront décisives pour Franck Kessié et ses coéquipiers. Il faudra toutefois être patient. La décision peut se faire en début comme en fin de partie. L’essentiel, c’est de prendre les trois points pour envisager la suite des qualifications avec beaucoup d’optimisme.
« Tout le monde se souvient de ce match contre le Mali. On espère que ce ne sera pas le même scénario, mais nous avons envie de vivre de belles émotions », explique Jérôme Koffi, enseignant dans un établissement privé de la capitale de Gbêkê qui venait à peine de récupérer son ticket que lui a ramené un ami d’Abidjan.
Du spectacle et mais surtout de l’intensité, il y en aura forcément dans ce match qui oppose deux équipes qui se connaissent bien. En l’espace de deux ans, c’est la troisième fois que les deux équipes se défient. La dernière en juin 2023 n’a pas laissé de très bons souvenirs aux Éléphants.
Dans un stade de Ndola plein à craquer, les Éléphants s’étaient liquéfiés face à la détermination de Patson Daka, Fashion Sakala, et autres Emmanuel Banda. Une défaite (0-3), restée au travers de la gorge d’Emerse Faé qui était à l’époque, l’adjoint de Jean Louis Gasset.
L’entraîneur des Éléphants sait donc à quelle adversité s’attendre. « Je sais comment ils vont jouer », a déclaré l’entraîneur des Éléphants en conférence de presse. Gagner pour marquer son territoire mais surtout, rendre la pièce de la monnaie aux Zambiens. « Ce sera une revanche pour nous, puisque le match en Zambie m’est resté toujours à l’esprit », a-t-il ajouté.
Faé a les hommes pour faire la différence dans ce match. Malgré l’absence de quelques joueurs expérimentés, les jeunes présents dans le groupe ont d’énormes talents. Dans une équipe où les places coûtent cher, personne n’a intérêt à lever le pied. Il faut toutefois se méfier des Zambiens et de leur rusé entraîneur Avram Grant.
Les 15 premières minutes seront décisives pour Franck Kessié et ses coéquipiers. Il faudra toutefois être patient. La décision peut se faire en début comme en fin de partie. L’essentiel, c’est de prendre les trois points pour envisager la suite des qualifications avec beaucoup d’optimisme.