Bandes dessinées : Après « Aya de Yopougon », Marguerite Abouet signe « Akissi de Paris »
Pour les amoureux de bandes dessinées, cela est une bonne nouvelle. Marguerite Abouet, auteure de la série à succès «Aya de Yopougon», est de retour en librairie avec une pépite intitulée «Akissi de Paris».
Cette œuvre raconte l’histoire d’une adolescente de 12 ans, prénommée Akissi, authentique Abidjanaise, qui se rend à Paris, capitale française, avec son frère, Fofana, dans le but d’intégrer un collège. À leur arrivée, les deux enfants sont accueillis par leur grand oncle, un médecin excentrique et humaniste.
Pour Akissi et son frère, le dépaysement est total et le choc culturel déroutant. Ils découvrent la France et s’étonnent que des personnes puissent dormir dans la rue. Aussi, ils ne comprennent pas pourquoi les voisins se saluent à peine et ne vont pas les uns chez les autres ou que les élèves de leur établissement évoluent en « bandes ».
Ce nouveau pays, ces nouveaux codes et habitudes ne facilitent pas leur intégration. La situation étant devenue difficile, ils veulent rentrer dare-dare à Abidjan.
Didactique et très personnelle, «Akissi de Paris» a permis à Marguerite Abouet, dans un tour de force, de raconter sa propre enfance et son adolescence. Dès les premières pages, le plaisir est présent. On y retrouve cette verve, ce phrasé singulier, ces dialogues hilarants et ces personnages attachants qui ont fait le succès de « Aya de Yopougon ».
Illustrée par Mathieu Sapin, cette parution est à la fois réjouissante, drôle, tendre et intelligente.
Pour Akissi et son frère, le dépaysement est total et le choc culturel déroutant. Ils découvrent la France et s’étonnent que des personnes puissent dormir dans la rue. Aussi, ils ne comprennent pas pourquoi les voisins se saluent à peine et ne vont pas les uns chez les autres ou que les élèves de leur établissement évoluent en « bandes ».
Ce nouveau pays, ces nouveaux codes et habitudes ne facilitent pas leur intégration. La situation étant devenue difficile, ils veulent rentrer dare-dare à Abidjan.
Didactique et très personnelle, «Akissi de Paris» a permis à Marguerite Abouet, dans un tour de force, de raconter sa propre enfance et son adolescence. Dès les premières pages, le plaisir est présent. On y retrouve cette verve, ce phrasé singulier, ces dialogues hilarants et ces personnages attachants qui ont fait le succès de « Aya de Yopougon ».
Illustrée par Mathieu Sapin, cette parution est à la fois réjouissante, drôle, tendre et intelligente.