La case des mots : La Chine et sa discipline
La Chine fascine, domine et culmine. La Chine a eu ses famines et ses moments de spleen, mais encline à la discipline, aujourd’hui, elle culmine. On devine que la Chine, si elle domine, c’est parce qu’elle se coltine à la discipline.
Cette Chine s’échine à donner de l’adrénaline à une Afrique qui piétine, patine et dandine. On imagine que si l’Afrique décline, connaît la famine, malgré ses mines, c’est faute de discipline. La discipline doit être ce qui domine, si on se destine à être la Chine.
La discipline qu’on abomine est la première usine si on se destine à gravir des collines. La Chine qui nous fascine, si elle nous câline et s’acoquine d’une Afrique qui coltine, c’est, on imagine, pour ses mines.
À l’origine, il y a eu les cuisines occidentales, parfois assassines, sinon enclines à des doctrines qui discriminent, chagrinent, enfarinent et embobinent. Ces cuisines occidentales de développement ruminent en sourdine contre une Chine qu’elles incriminent d’être encline à ignorer leurs doctrines.
La discipline qu’on abomine est la première usine si on se destine à gravir des collines. La Chine qui nous fascine, si elle nous câline et s’acoquine d’une Afrique qui coltine, c’est, on imagine, pour ses mines.
À l’origine, il y a eu les cuisines occidentales, parfois assassines, sinon enclines à des doctrines qui discriminent, chagrinent, enfarinent et embobinent. Ces cuisines occidentales de développement ruminent en sourdine contre une Chine qu’elles incriminent d’être encline à ignorer leurs doctrines.