La capitale ivoirienne se taille, au final, une réputation royale, impériale, internationale, de capitale mondiale idéale des festivals.

Après les dernières retrouvailles bi-continentales sans égale en entière libérale, partenariale et multilatérale, Abidjan a accueilli la principale compétition mondiale du Taekwondo et son festival de médailles.

Dans l’intervalle, a eu lieu dans l’antre architectural original d’une tour de la capitale, le sommet international sur le sida, préoccupation générale et fondamentale.

D’une portée monumentale, phénoménale, en termes d’intégration intercontinentale, les jeux de la francophonie ont eu pour cachet spécial de réunir toutes les sommités culturelles et sportives mondiales dans une géniale ambiance conviviale et multiraciale totale.

Au festival culturel estival du Masa avait succédé le salon international automnal agricole et pastoral.

Au plan continental, les rencontres intergouvernementales d’intégration régionale sont devenues banales.

Cet éventail de cérémonials dans la capitale, avant d’être évalués en capital commercial, est déjà un capital moral et mental primordial, avec un impact local collatéral global.

Benoît HILI