Comment réagissez-vous au rejet de votre candidature à la présidence de la Fédération ivoirienne de Judo de Côte d’Ivoire ?

Le contraire m’aurait étonné. Car je n’ai rien contre la nouvelle appellation de la fédération. Mais je conteste depuis le début de l'assemblée générale du 13 janvier 2024, au cours de laquelle des modifications ont été portées aux textes fondamentaux de notre bien à tous sans respecter les exigences imposées par les textes antérieurs. Soyez rassurés que nous ne sommes qu’au début d’un acte important du sport ivoirien en général.

N’avez-vous pas le sentiment d’avoir été injustement écarté ?

Je félicite la décision de cette commission. Cependant, lorsqu’il s’est agi de l’élaboration du collège électoral et de l’attribution du nombre de voix, soit elle n’a pas maîtrisé le système, soit elle a décidé de traiter d’incultes l’ensemble des judokas. Je vous donne deux exemples pour illustrer ce que j’avance. Le premier, c’est que le Cesca, le club du président, avec une moyenne de 170, devrait se retrouver avec quatre (4) voix contre trois (3) inscrites dans le document. Le second exemple, le judo club féminin de Bingerville, comme plusieurs clubs présents sur cette liste, ne devrait pas y figurer. Parce qu’au 21 septembre 2024, ce club n’avait pas deux années d’existence, il ne doit pas figurer sur cette liste comme le stipule nos textes. Un autre fait, le rapport de janvier nous informe que le lycée de Bingerville a été doté de tapis de judo entre le 17 et 27 octobre 2023, avec sa moyenne de 93, il faut comprendre que ce club a eu 372 licenciés en moins d’un an.

Comment comptez-vous faire pour casser la décision de la commission électorale ?

La création de cette commission est anti-statutaire vu les conditions de sa naissance. J’apporterai des preuves matérielles que j’ai déjà constituées pour la casser et casser toutes ses décisions.

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